L'achat et la vente de terrains présentent des défis uniques par rapport aux autres types de biens immobiliers. Il est donc crucial de choisir un professionnel qui comprend ces spécificités et qui peut naviguer dans des négociations complexes avec les intervenants du marché immobilier.
Optimiser la valeur d'un terrain repose souvent sur l'acquisition de droits de développement adéquats. Un terrain avec un projet de développement approuvé se négocie bien plus avantageusement qu'un terrain dont le potentiel demeure incertain.
Découvrez notre vision sur l'utilisation des technologies IA en courtage immobilier à travers cette discussion fort intéressante entre Nadine Fournier de Landerz et Charles Demontigny sur le podcast QuébGPT.
Landerz bonifie son équipe d'ingénierie et accueille Martin Aumont comme ingénieur logiciel sénior.Martin est un ingénieur logiciel aguerri cumulant plus de 15 ans...
Landerz, la jeune pousse montréalaise, poursuit son expansion et annonce la nomination de François Royer Mireault en tant que directeur marketing. Fort de 15 ans d'expérience, François amène une solide expertise stratégique pour l’évolution de la Proptech qui développe sa plateforme visant à accélérer la recherche, l'achat et la vente de terrains.
Avec 91 M$ en volume transigé, les ventes de novembre sont nettement redescendues sous le niveau moyen des derniers mois, qui se situait à environ 130 M$ par mois.
Landerz est une firme de technologie et de services spécialisée dans le terrain
Landerz a été sélectionnée parmi 1400+ startups pour faire partie des 70 compagnies en compétition au concours de Pitch a #CollisionConf ce matin à Toronto! Bravo à notre CEO Simon G. Boyer pour une prestation convaincante devant un panel d’investisseurs.
« Selon la firme Landerz, qui analyse ce type de transactions, les ventes de terrains à des fins résidentielles se sont chiffrées à 75,6 millions en mai, puis à 98,3 millions en juin sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. »
Zéro, c’est le nombre de terrains résidentiels qui ont changé de mains en avril et mai dans l’île de Montréal. Du jamais-vu, selon l’expert qui a colligé ces données. Il restait cinq jours avant la fin du mois, au moment d’écrire ces lignes.